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Loges de Francs-maçons à Nogent-sur-Marne

Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Nogent-sur-Marne


Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


Débuts du Grand Orient : Le 24 mai 1773, l'assemblée générale adopte le chapitre premier des nouveaux statuts et décide de créer un « Grand Orient de France ». Cette assemblée met en œuvre plusieurs changements majeurs dont le plus important est l'élection des vénérables maîtres de loge maçonnique4, mettant fin à l'inamovibilité de ceux-ci en précisant que : « le Grand Orient de France ne reconnaîtra désormais pour Vénérable de loge maçonnique que le Maître élevé à cette dignité par le choix libre des membres de la loge maçonnique ». Ce premier chapitre officialise également la représentation du Grand Orient par les « députés de loge maçonnique (bleue) tant de Paris que des Provinces » lors des assemblées générales, affirmant pour la première fois une démocratie participative au niveau national et déniant de la sorte, à tous organismes de « hauts grades » le droit de s’immiscer dans les affaires de l’Obédience . La dernière assemblée générale de « l'authentique Grande loge maçonnique de France » se tient le 2 octobre 1773 et valide l'installation solennelle de Philippe d’Orléans comme Grand Maître le 22 octobre 1773, date qui marque la fondation de la nouvelle Obédience. Le jour même, le nouveau Grand Maître valide tous les travaux déjà commencés en son nom et « sous les auspices du Grand Orient de France » mettant fin à la période de transition qui a suivi le décès du comte de Clermont. Une grande majorité des loges maçonniques du royaume rallient cette nouvelle structure dans les années qui suivent, bien qu'une « Grande loge maçonnique de Clermont » rivale, principalement parisienne, refusant ces évolutions et restant accrochée à la traditionnelle vénalité des offices, reste en activité jusqu'en mai 1799, date à laquelle les deux Obédiences, très fortement affaiblies par la Révolution française, fusionnent. Révolution française. Portrait en peinture d'un notable du XVIIIe siècle. Roëttiers de Montaleau (1748-1807). Il est fréquent de lire que les francs-maçons ont activement préparé la Révolution de 1789. L'association des loges maçonniques aux Lumières et la Révolution a d'abord été une accusation lancée par les milieux contre-révolutionnairesN 3, qui la présente comme le résultat d'un complot. La vérité est qu'il y en eut dans tous les campsN 4. Ainsi le duc de Luxembourg, véritable créateur du Grand Orient, « premier Baron chrétien » préside l'ordre de la Noblesse aux États généraux et émigre le 15 juillet 1789BM 2. Une loge maçonnique aristocratique comme « La Concorde » de Dijon se saborde dès août 17896 ou encore l'astronome Lalande, officier du Grand Orient et « doyen des athées » selon ses amis, demeure un monarchiste convaincu. Cependant les loges maçonniques ont, par leur fonctionnement dans les années antérieures, pris une certaine indépendance vis-à-vis de l'État et de l'Église, ce qui a vraisemblablement facilité l'éclosion d'aspirations nouvelles. Parmi les francs-maçons actifs de l'époque révolutionnaire, citons Mirabeau et Choderlos de Laclos. L'hymne national, La Marseillaise, a d'ailleurs été composée par un franc-maçon : Rouget de l'Isle.

Le 5 janvier 1792, le Grand Orient de France approuve publiquement la Révolution en cours, ce qui ne signifie pas pour autant une adhésion de la totalité de ses membres à ce bouleversement politique, institutionnel et social majeur de l'histoire de la France. En effet, durant la Terreur, le GODF se met en sommeil de 1793 à 1796, rares sont les ateliers qui ont maintenu une activité durant cette période. En février 1793 et à son initiative, les archives du Grand Orient sont mises à l'abri chez Alexandre Roëttiers de Montaleau. Ce même mois, le grand maître Philippe d'Orléans renie formellement la franc-maçonnerieDK 7. La grande maîtrise reste vacante jusqu'en 1795, date à laquelle Roëttiers de Montaleau l'accepte sous le titre de « grand vénérable ». Il sera l'artisan de la fusion de la Grande loge maçonnique de Clermont au sein du Grand Orient et la signature d'un concordat d'intégration le 10 juin 1799 permet au Grand Orient de se proclamer : « seul et unique héritier en France de la Grande loge maçonnique d'Angleterre ». Au XIXe siècle. Portrait en couleur de Joseph Bonaparte en grand uniforme. Joseph Bonaparte en 1808.

Nogent-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. C'est l'une des 47 communes de ce département et l'une des trois sous-préfectures. Le 10 juin 2010, Nogent-sur-Marne est la première commune du Val-de-Marne à obtenir le label « Commune touristique ». À son entrée, au bois de Vincennes, la commune est à 12 km du point 0. Nogent-sur-Marne est située dans le grand bassin parisien, et fait partie de l’unité urbaine de Paris. L’ancien territoire est amputé de sa partie orientale, devenue la commune du Perreux-sur-Marne à la fin du XIXe siècle, le 28 février 1887. La commune se situe au flanc d’un coteau dominant au sud et à l’est une boucle de la Marne. Elle possède en cela un grand nombre de rues particulièrement en pente (notamment le bas de la rue Bauyn de Perreuse). Elle est limitée à l’ouest par une ancienne forêt (l’actuel Bois de Vincennes qui fait partie de la ville de Paris). Le point culminant de la ville se trouve au Nord-Est dans le quartier des Maréchaux près du Fort de Nogent. Le nom de Nogent est un toponyme d'origine gauloise. Comme tous les Nogent recensés par Albert Dauzat et Charles Rostaing, attestée sous les formes de vico novigento au VIe siècle et Novientus en 848, il est composé par :

  •     l'élément celtique "novio", signifiant neuf ou nouveau, que l'on retrouve également dans tous les Noyon, Nouvion, etc.), suivi par
  •   le suffixe gaulois "ent" qui désigne une localisation et que l'on retrouve dans Douvrend (Dovrent XIIe siècle) semble-t-il et dans Drevant (Derventum, sur dervo, chêne).

De par sa position au bord d'une rivière, la Marne, et de la forêt, Nogent-sur-Marne est un lieu propice à la création d'une agglomération, ainsi un peuplement de l'époque gallo-romaine est référencé à cet endroit.

Un palais mérovingien de Chilpéric Ier aurait été situé à Nogent-sur-Marne. En 581, Grégoire de Tours cite Novigentum comme résidence préférée du roi. Clovis Ier habita Nogent en 692, et Childebert III, en 695. Des domaines sont constitués au Moyen Âge :

  •     Le château de Plaisance, construit au XIIIe siècle, qui accueille Charles V et Jeanne de Bourbon en 1375. Le seul vestige qui en subsiste est un pavillon de l'actuelle maison de Santé, 30 rue de Plaisance, ainsi que le bas du mur d'enceinte des jardins.
  •     Le château de Beauté-sur-Marne, du XIVe siècle, est un lieu de séjour royal. Au XVe siècle, Charles VII l'offre à sa favorite Agnès Sorel, qui deviendra ainsi Dame de Beauté. C'est le cardinal de Richelieu qui le fera raser en 1626.

La seigneurie de Nogent appartint aux religieux de Saint-Maur-des-Fossés puis à des rois de France, mais les religieux et Charles VI affranchirent les habitants du droit de prise. Une ordonnance du 14 février 1404 statua que les Nogentais faucheraient trois arpents d'une prairie royale, et en transporteraient le foin au château de Vincennes. En mars 1475, par ses lettres patentes, Louis XI confirma les droits des habitants octroyés par ses prédécesseurs. Dès le XVIIe siècle, alors que la population rurale est composée d’une majorité de vignerons et d'agriculteurs, la bourgeoisie découvre les charmes du pays et s’installe à Nogent ; entre autres : 

  •     Jean-Antoine Watteau, le peintre qui vient passer chez M. Lefevre ses derniers instants et y meurt en 1721. (Sa résidence à la fin de sa vie à Nogent a donné lieu à un débat entre Pierre Champion et Émile Brisson à la fin du XIXe siècle).
  •     Les Coignard, imprimeurs du roi, avec Jean Baptiste II qui imprime la première édition du dictionnaire de l'Académie française, et son fils Jean Baptiste III qui reprend sa charge et devient secrétaire du Roi et conservateur des hypothèques.
  •     L'abbé de Pomponne, abbé de Saint-Médard de Soissons, ambassadeur de Venise, aumônier du roi, conseiller d'État et créateur de la première compagnie de l'arc à Nogent en 1733.

  •     Les Vandenywer, banquiers de la comtesse Dubarry, qui seront guillotinés avec elle.
  •     La comtesse de l'Arboust, petite fille de la nourrice de Louis XV, qui sauva ce dernier d'empoisonnement en le nourrissant exclusivement au sein, le laissant seul héritier du trône, alors que l'on assista aux décès rapprochés de Louis, Grand Dauphin, fils de Louis XIV, de Louis, duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, de son épouse Marie-Adélaïde de Savoie, et de Louis, duc de Bretagne, frère ainé de Louis XV.

La forêt côtoyant Nogent, étant devenue le bois de Vincennes, entièrement réaménagé en 1855 et 1866, à la demande de Napoléon III, sa proximité sur Saint-Mandé à la limite de Nogent, en fait un lieu de loisirs facile d'accès pour les enfants, promeneurs ou cyclistes, en rejoignant le Lac des Minimes près de la Porte Jaune.

Pour davantage d'informations sur l'histoire urbaine et le patrimoine de Nogent-sur-Marne, voir l'ouvrage publié dans la collection Images du Patrimoine du ministère de la Culture : Inventaire général du patrimoine culturel, Région Île-de-France. Isabelle Duhau (réd.) ; Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk (photogr.)

Les guinguettes du bord de Marne

Nogent-sur-Marne est bien connu notamment pour ses guinguettes, situées en majorité sur les bords de la Marne. De nombreux orchestres de bal musette s'y succèdent, de nombreux danseurs ou titis venus "guincher" et s'"encanailler" faisant tournoyer leur cavalière aux rythmes effrénés de l'accordéon, le dimanche après-midi notamment.

Le nombre de guinguettes était particulièrement important au cours de son âge d'or vers 190017, favorisées par l'arrivée des italiens transalpins. Les bals musette se raréfièrent ensuite progressivement, surtout à partir des années 1960, détrônés par les nouvelles modes des danses et rythmes venus des États-Unis. La plus célèbre d'entre elles, toujours existante actuellement, conjointement au "Petit Robinson" de Joinville le Pont (fermé en 2007), est "Gégène". Les canotiers étaient également célèbres pour effectuer à cette époque un tour en barque sur la Marne. La Fête du Viaduc avec courses d’aviron et joutes nautiques et parfois lâchers de ballons aérostatiques, avait lieu le 15 août aux débuts du XXe siècle. Nogent doit sa renommée à la célèbre chanson de 1943 sous forme de valse musette, Ah ! le petit vin blanc sur des paroles de Jean Dréjac et la musique de Charles Borel-Clerc, puis interprétée par Lina Margy. En juin 1954, sous l'égide de Roland Nungesser, qui deviendra maire de Nogent en 1959, la fête du petit vin blanc fut organisée, conjointement à la fête des Guinguettes et à la fête de la Rentrée, en septembre, du Perreux sur Marne. Le Quadrille de Nogent-Val de Marne

Il débute en 1966 sous la forme « danses de salon et de la belle époque », s'inspirant du quadrille des Lanciers, comportant cinq figures. Il présente en costume d’époque, où le canotier et promenades en barques des bords de Marne étaient en vogue… puis participe au Carnaval de Siegburg. Les danses folkloriques s'ajoutèrent ensuite au représentations, avec les costumes appropriés. Il participe à de nombreux défilés dont la fête du petit vin blanc.

Le Pavillon Baltard : En 1976, Roland Nungesser rachète le 8° pavillon Baltard, construit à l'origine sous Napoléon III et démonté de l'ancien marché des Halles de Paris, pour le faire reconstruire, en réadaptant l'intérieur pour une salle de spectacles. Dans ce pavillon, il fait remonter également l'ex-orgue de cinéma du Gaumont-Palace, récupérer un morceau des escaliers de la Tour Eiffel ainsi qu'un carousel de chevaux de bois 1900, une colonne Morris et fontaine Wallace. De nombreux artistes et spectacles se succéderont tels qu'au départ les organistes John Mann ou Rhoda Scott, les chanteurs Georgette Plana, Jack Lantier, Michel Sardou, Les Compagnons de la chanson, Thierry Le Luron, la Chorale Vent d'Est avec le groupe andin Los Calchakis et le Quadrille de Nogent (danses de la belle époque et folkloriques)22. De 1990 à 1994, Michel Drucker effectue ses émissions diffusées sur TF1 au Pavillon Baltard, sous le nom de Stars 90. La Sous-préfecture du Val de Marne. 

Vers 1978, les plus vieux bâtiments situés entre la Grande rue Charles De-Gaulle et la rue Pierre Brossolette sont démolis, pour y faire construire la nouvelle sous-préfecture du Val de Marne. Roland Nungesser donnera en hommage aux aviateurs, le nom de l'esplanade s'y adjoignant "Nungesser et Coli". Le Parc Watteau jusqu'ici privé, devient vers ces mêmes années disponible au public. Le parc de l'Institut Biblique possède l'un des plus grand cèdres du Liban de la banlieue parisienne, patrimoine arboricole, le second n'ayant pu être conservé lors de l'aménagement de la Sous-préfecture. La rue qui le côtoie devenant "Rue Jean Moulin" vers 1959 en hommage au héros de la Résistance, s'appelait auparavant "Rue du cèdre". Au début des années 1990, la place du marché est réaménagée avec un kiosque, de nouveaux bâtiments remplacent les anciens de manière plus "conviviale" et progressivement au fil des années, tout l'ensemble de la Grande Rue, ainsi que la rue Jacques Kablé. La rue Baüyn de Perreuse où se situent l'école primaire suivie du lycée Edouard Branly (l'une des plus pentue proche de Paris), devient entièrement piétonne pour les élèves.

 

Site web              http://www.ville-nogentsurmarne.fr

Gentilé                Nogentais

Population

municipale         31 367 hab. (2013)

Densité                11 203 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 50' 12? Nord, 2° 28' 57? Est

Altitude               Min. 36 m – Max. 99 m

Superficie           2,80 km2