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Loges de Francs-maçons à Chevilly-Larue

Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Chevilly-Larue

Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


Les loges maçonniques de province sont le plus souvent fondées par des maçons en déplacement pour leurs affaires, mais surtout par l'intermédiaire des loges maçonniques militaires, au fil des déplacements de leurs régiments : lorsqu'une loge maçonnique militaire quitte ses quartiers d'hiver, il n'est pas rare en effet qu'elle laisse dans son sillage l'embryon d'une nouvelle loge maçonnique civile. C'est de cette époque que datent les nombreuses expressions d'origine militaire encore en usage dans les banquets maçonniques modernes, telles que le célèbre « canon » désignant un verre, ou la « poudre forte » désignant le vin. Portrait en couleur d'un aristocrate - Philippe d'Orléans en Grand Maître du Grand Orient de France

En 1771, Louis Philippe d'Orléans (1747-1793) succède au comte de Clermont à la tête de la franc-maçonnerie française. Sous son autorité et avec le soutien des loges maçonniques de province contre l'hégémonie de celles de Paris, la Grande loge maçonnique de France est réorganisée et change de nom pour devenir en 1773 le Grand Orient de France, qui regroupe quelque 600 loges maçonniques. Seuls quelques « vénérables », principalement parisiens, refusant de ne plus être présidents à vie de leur loge maçonnique, résisteront à cette réforme en formant une « Grande loge maçonnique de Clermont » qui poursuivra son activité jusqu'en mai 1799.

Après la Révolution française, le jésuite Augustin Barruel écrivit que les francs-maçons avaient activement préparé la révolution de 1789, ce qui accrédita parfois l'idée d'un complot maçonnique dans la révolution française. Cette thèse fut ensuite souvent reprise, notamment sous la Troisième République, par quelques auteurs catholiques qui y voyaient un argument anti-maçonnique et anti-républicain, ainsi que par différents francs-maçons qui y voyaient un argument de nature à renforcer leur image auprès du gouvernement. Il y eut en réalité des francs-maçons dans tous les camps. Ainsi le Duc de Luxembourg, bras droit du Grand Maître et initiateur de la fondation du Grand Orient de France, émigre dès juillet 1789. Une loge maçonnique aristocratique comme « La Concorde », de Dijon se saborde dès août 178919. Le Grand Maître du Grand Orient lui-même, devenu « Philippe-Égalité » renie publiquement la maçonnerie en 1793, peu de temps avant de finir sur l'échafaud. Et si le Grand Orient proclame son attachement à la forme démocratique de gouvernement dès janvier 1789, il est contraint de cesser ses activités par la Terreur de 1793 à 1796. Alors qu'on dénombrait près de 1 000 loges maçonniques à la veille de la Révolution, 75 loges maçonniques seulement seront en mesure de reprendre leurs travaux en 1800. 

Cependant les 

loges maçonniques 

avaient, par leur fonctionnement dans les années antérieures, pris une certaine indépendance vis-à-vis de l'État et de l'Église, ce qui avait vraisemblablement contribué à l'éclosion d'aspirations nouvelles. Parmi les 

francs-maçons 

actifs de l'époque révolutionnaire, citons Mirabeau, Desmoulins, Couthon, La Fayette, La Rouërie, Choderlos de Laclos, David et Rouget de l'Isle, créateur de l'hymne national La Marseillaise.

Chevilly-Larue est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Chevillais. La gare du Pont de Rungis - Aéroport d'Orly sur le RER C est la gare RER située la plus près de la commune. Chevilly-Larue est aussi desservie par le TVM, un bus en site propre dont la voie longe la RN 186 traversant la commune d'est en ouest avec quatre arrêts : Le Delta; Mairie de Chevilly-larue ; Marché International de Rungis ; Porte de Thiais.

La commune est à proximité du terminus de la ligne 7 « Villejuif Louis Aragon ». Les lignes de bus RATP 131, 186, 192, 286 ainsi que le Trans-Val-de-Marne traversent la commune.Le bus municipal la Colombe est le fruit d'une convention signée en octobre 2001 entre la RATP et la ville de Chevilly-Larue afin de mettre en place un service urbain de transport en commun pour tous les Chevillais. La RATP organise et effectue le transport des voyageurs et la commune participe financièrement à son coût d'exploitation1. Cependant, à partir de septembre 2014, la ligne a été supprimée. Fin 2010, un projet est mis en discussion quant au prolongement de la ligne 14 du métro et l'implantation de deux stations dans la commune. Ce projet a d'ailleurs été voté dans le cadre du projet Grand Paris ; la commune sera desservie, d'ici 2027, par deux stations de de métro : MIN porte de Thiais au sud et Chevilly Trois Communes située à L'Haÿ-les-Roses au nord. Le tramway T7 a été inauguré et mise en ligne le 16 novembre 2013 reliant Villejuif - Louis-Aragon, terminus de la ligne 7 du métro, et le pôle d’échanges bus - tramway d’Athis-Mons. Il dessert cinq stations dans la commune : Domaine Cherioux, Moulin Vert, Bretagne, Auguste Perret et Porte de Thiais.

La commune est divisée en plusieurs quartiers : Bretagne, Sorbiers-Saussaie, Centre-ville et Larue. Chevilly-larue est une ville assez pavillonnaire, mais comporte quelques quartiers de bâtiments collectifs et résidences :

  •     Les Sorbiers
  •     La Saussaie
  •     La Guinet
  •     La Croix du Sud
  •     Les Camélias
  •     Les Castors
  •     Les Lilas
  •     Les Hortensias
  •     La Guinet
  •     Bretagne
  •     Square de la pépinière
  •     Cité Anatole France

La ville a décidé la reconstruction de La Cité Anatole France en éco-quartier Anatole-Les Meuniers, en collaboration avec le canton Seine-Amont et son projet Les Portes d'Orly. Les travaux devraient se terminer à l'horizon 2017. De nombreux vestiges archéologiques (armes, outils, silex…) ont été trouvés sur le territoire de la commune attestant qu'il était habité dès l’époque paléolithique.

En 829, Inchadus (ou Inchad), évêque de Paris, donna la seigneurie de Civiliacum au chapitre de Notre Dame, donation confirmée en 985 par les rois Lothaire et Louis ; elle lui appartenait encore à la Révolution.

La première église détruite vers 850-900, les chanoines entreprennent sa reconstruction. L’église Sainte-Colombe sera achevée au XVe siècle. C'est une ancienne église de campagne, cadrée d'un enclos paroissial, qui était autrefois un cimetière. Sa façade est de style roman cistercien, la nef comporte un portail lui aussi roman avec un linteau en bâtière. Le clocher fut édifié au XIIIe siècle. Elle est dédiée à Sainte Colombe.

L'église Sainte-Colombe, autrefois centre du village.

Elle est bordée par une place inchangée depuis le Moyen Âge jusqu'à aujourd'hui, qui accueillait une grande foire à blé lors du pèlerinage de Sainte-Colombe, le dernier dimanche de juillet. Elle est de forme triangulaire, et est bordée par le Séminaire des Missions des Pères du Saint-Esprit et le "château" de 1760 au Sud; par l'église Sainte-Colombe citée précédemment ainsi que les maisons de la rue Jaume, à l'Est; et enfin une ancienne ferme qui abritait un commerce de vins, de 1945 à 1953 ainsi que le Monastère Saint-Michel de 1906, au Nord5.

Au milieu du XIIIe siècle, Louis VII fonde un couvent au lieu-dit « La Saussaye ». Ce couvent servira de léproserie jusque vers 1500, puis de prison à une princesse royale de 1742 à sa mort en 1760. Le couvent est fermé en 1769. Ensuite, il n’y a plus à La Saroussaie qu’une grande ferme dont l'emplacement est désormais occupé par le centre l'Oréal.

Au début du XVe siècle, Raymond Raguier, seigneur de l'Haÿ, fonde le hameau de Chevilly pour y héberger ses gens. De plus, le clocher de l'église Sainte-Colombe y fut reconstruit. En 1709, la paroisse de Chevilly compte environ 250 habitants. Elle comprend le petit bourg de Chevilly autour de l’église et deux écarts : le hameau de « La Rue » et le couvent de « La Saussaye ». Sous le règne de Louis XV des gentilhommières et des remises de chasse6 sont édifiées à Chevilly et à Larue. Barthélémy Thoinard de Jouy7, cousin de Madame de Pompadour, achète l’ancienne grande ferme du Chapitre et fait construire dans le parc un pavillon de chasse que le roi inaugure en 1760. Mais le propriétaire n'a pas les moyens de son train de vie et il est enfermé pour dettes dans la forteresse de Pierre Encise près de Lyon. Ses créanciers louent la propriété au prince de Monaco de 1762 à 1767. Des négociations portant sur l’abdication de Napoléon Ier se dérouleront dans le « château » de Chevilly les 4 et 5 avril 1814. En 1758, la famille princière de Rohan-Guéménée acquiert le domaine d’en face (à l’emplacement du monastère Saint-Michel) et le revendra en 1781, après la mort de la princesse douairière de Rohan-Guéménée le 20 août 1780 à Chevilly.

 

L’édit du 25 juin 1787, réunit en une seule municipalité les paroisses de Chevilly et Lay. Le 14 avril 1789, un cahier de doléances commun est rédigé pour les deux paroisses. Si la loi du 14 décembre 1789 crée les communes, ce n’est que le 17 mars 1793 que les deux anciennes paroisses sont érigées en communes distinctes. En 1791, l'ancienne rue de l'Église est renommée en rue Jaume, pour rendre hommage à Joseph Jaume, ancien propriétaire du « château » de Chevilly-Larue, qui légua le numéro 5 (le presbytère) ainsi que le numéro 7 (école jusqu'en 1895, démolie en 1994). Il est mort en 1807. Pendant la Révolution, les terres du chapitre de Notre-Dame, de la paroisse et des congrégations religieuses sont confisquées et revendues comme biens nationaux à de riches roturiers. Le marquis de Cubières, agronome et naturaliste, séjourne fréquemment dans sa maison de campagne à Larue entre 1805 et sa mort en 1821. De 1849 à 1935 dans la rue Henri-Cretté, l'ancienne chapelle du Séminaire y abritait un ancien corps de garde, utilisé par la Garde nationale jusqu'en 1871. Il abritait une fontaine, un local pour le matériel des pompiers, et une croix au fond;, qui donna pour ancien nom de la rue, rue de la Croix. C'est en 1927 que la rue fut renommée en Henri Cretté, qui était maire de 1898 jusqu'à sa mort en 1927. Après la première Guerre mondiale, l'ancien café/épicerie des Lavigne fut déplacé de l'autre côté de la rue, et l'actuel café/tabac le remplaça. Entre 1845 et 1858, la peintre animalière Rosa Bonheur séjourne plusieurs fois à Chevilly. Chapelle des Spiritains. 

Le premier janvier 1864, la Congrégation du Saint-Esprit et du Saint-Cœur de Marie (Spiritains), fondée en 1703, ouvre son séminaire dans l’ancien domaine de Thoinard de Jouy. Elle y installe aussi divers bâtiments, dont une grande chapelle qui fut consacrée en 1938. Un vitrail, représentant le père Jacques-Désiré Laval évangélisant « ses Chers Noirs » à Maurice, est situé dans la chapelle spiritaine au 12 rue du Père-Mazurié. Grâce à ce séminaire, plus de 4.000 missionnaires sont partis en un siècle dans le but de propager l’Évangile à travers le monde. Ce séminaire spiritain comprenait une grande ferme lui permettant de vivre en quasi-autarcie alimentaire, et qui pouvait être visitée par les élèves des écoles, mais qui fut démantelée dans la décennie 1970. La moitié sud du terrain agricole fut alors vendue : le Parc départemental de Chevilly et la piscine Pierre de Coubertin l’occupent aujourd'hui. Lors de la guerre franco-prussienne de 1870, alors que Paris était assiégée le village fut le théâtre de plusieurs combats : Le 19 septembre, une reconnaissance sur Chevilly et ses environs fut effectuée par le 12e régiment de marche. Le 30 septembre 1870, des combats acharnés ont lieu à Chevilly entre les troupes française venant de Villejuif composées11 des 35e et 42e régiment d'infanterie de ligne, d'une compagnie des 8e12 et 15e bataillons de chasseurs à pied13, des 9e14, 10e15, 11e16 et 12e régiments de marche, de 4 escadrons du 9e régiment de chasseurs à cheval18, d'une partie du 1er régiment de Spahis, de la garde nationale mobile de la Côte-d'Or19 et de la de la Vendée20 et les Prussiens retranchés dans le parc du séminaire. En 1875 un orphelinat est ouvert à Larue. En 1903 il cède la place à un sanatorium qui est désormais un centre de pneumologie. 

En 1906, deux briqueteries, Lafontaine et Bohy, s’installent dans l’ouest de la commune ; leur activité durera respectivement jusqu’en 1935 et 1966. En 1906, les sœurs de l’institut Notre-Dame-de-Charité, fondé en 1641 et servant à aider les jeunes filles en difficulté, construisent à Chevilly le monastère Saint-Michel et s’y installèrent en 1907. Ce bâtiment regroupe actuellement une communauté religieuse, une maison de retraite ainsi que le Centre d’observation et de rééducation. Cet espace était alors dédié, avant la Révolution française, à un terrain agricole abritant une gentilhommière où vécut la princesse de Rohan-Guéméné, de 1758 jusqu'à 1780, date de sa mort. Par décret du 5 septembre 1920, Chevilly devient Chevilly-Larue. 

Le 24 août 1944 des combats ont lieu à la Libération. Les rues de la ville portent le nom de ceux tombés à Chevilly pendant la libération, le jeune FFI Jacques Hellouin âgé de 17 ans et le père Laurent Mazurié, croix-rouge française, qui sont exécutés ensemble par une patrouille allemande. Le lieutenant FFI Jacques Petit-le-Roy, l'adjudant-chef Augustin Dericbourg porteurs d'un pli urgent du général Leclerc, se dirigent vers Paris à bord d'une jeep, s'égarent dans les rues de Chevilly, et sont tués dans un échange de tirs d'embuscade allemande ; un soldat allemand perd aussi la vie. 

Une stèle blanche, avec une écriture très ancienne taillée dans la pierre, est découverte sur le chantier de construction de la piscine Pierre de Coubertin, sur le terrain du parc actuel, qui à l’époque, fut vendu aux pouvoirs publics par l’administration du séminaire spiritain, afin de servir de base de loisirs. Guy Pettenati, alors maire, fit exposer cette stèle dans le hall de la mairie dans un premier temps, avant qu’elle ne soit entreposée. En 1992, le toit de l'église Sainte-Colombe est refait. Dans cette commune, quelques milliers d’habitants ont longtemps vécu du maraichage, de la culture florale ou des travaux des champs. Mais de 1954 à 1962, la population a triplé, progressant depuis jusqu’à passer la barre des 18 000 au dernier recensement. Des centaines de pavillons, puis d’immeubles ont été construits. Chevilly-Larue sera bientôt desservie par la station Trois communes du métro (ligne 14), et les travaux du futur tramway la raccorderont à Villejuif et Orly.

 

Site web              http://www.ville-chevilly-larue.fr

Gentilé                Chevillais

Population

municipale         18 894 hab. (2013)

Densité                4 477 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 45' 59? Nord, 2° 21' 12? Est

Altitude               Min. 83 m – Max. 94 m

Superficie           4,22 km2