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Loges de Francs-maçons à Cachan

 Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Cachan


Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


En théorie chaque loge maçonnique reste libre de son choix de continuer ou pas à respecter cet ancien landmark de la franc-maçonnerie, mais en pratique, dans un climat envenimé par 30 années de conflit ouvert entre la République et l'ancienne religion d'État, toutes les références à la religion seront progressivement supprimées des rituels du Grand Orient.

Du côté du Rite écossais du Suprême Conseil de France, l'obligation traditionnelle n'est pas supprimée, mais son Grand Commandeur Crémieux rappellera avec vigueur dès 1876 que sa juridiction n'impose « aucune forme au Grand Architecte de l'Univers ». Le Suprême Conseil doit également faire face à une fronde des loges maçonniques des trois premiers grades, qui entendent s'affranchir de sa tutelle. Il finira par leur accorder leur indépendance au sein de la Grande loge maçonnique de France (2e du nom) fondée en 1894 pour administrer les trois premiers grades de la franc-maçonnerie du Rite écossais ancien et accepté. De 1893 à 1899, la France voit se constituer la première Obédience maçonnique mixte, qui deviendra très rapidement internationale: l'Ordre mixte international du Droit humain, qui adopte lui aussi le Rite écossais ancien et accepté.

Le XXe siècle : Pour l'histoire de la franc-maçonnerie française, le XXe siècle débute avec un scandale qui laissera des traces durables et qui témoigne bien de l'implication de la franc-maçonnerie de l'époque dans la politique : l'affaire des fiches. Elle débute en 1901 lorsque le général Louis André, ministre de la guerre et franc-maçon, met en fiches les convictions philosophiques et religieuses de quelque 27 000 officiers, pour gérer leur avancement. Les renseignements sont fournis par des centaines de francs-maçons dans tout le pays. En 1904, la presse s'empare de l'affaire. Le scandale est immense et s'achèvera par la démission du général Louis André. En 1913, deux loges maçonniques, « le Centre des Amis » et la « loge maçonnique Anglaise 204 » quittent le Grand Orient et fondent la « Grande loge maçonnique nationale indépendante et régulière », qui sera immédiatement reconnue par la Grande loge maçonnique unie d'Angleterre et qui restera jusque dans les années 1960 principalement animée par des Anglais ou des Américains résidant en France. En 1948, cette Obédience changera de nom pour celui de Grande loge maçonnique nationale française qu'elle porte encore en 2016.

Si le courant pacifiste qui apparaît en France avant la Première Guerre mondiale se manifeste aussi dans la franc-maçonnerie, il disparaît dans celle-ci comme dans le reste du pays dès le début du conflit et le premier cabinet d'Union sacrée comprend neuf francs-maçons. Une conférence internationale réunit en janvier 1917, au siège de la Grande loge maçonnique de France, plusieurs Obédiences européennes. Il y est lancé un appel à la création de la Société des Nations. Une conférence similaire réunit en juin 1917 les représentants de 16 Obédiences alliées ou neutres au siège du Grand Orient de France avec les mêmes objectifs.

Cachan est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Cachanais. Cachan est une commune du Hurepoix. Elle est située dans la proche banlieue sud de Paris, à deux kilomètres des portes d'Orléans et d'Italie et à 7,4 kilomètres au sud de la cathédrale Notre-Dame de Paris. À l'ouest du Val-de-Marne et en limite des Hauts-de-Seine, elle est voisine des communes suivantes : Arcueil au nord, Villejuif à l'est, L'Haÿ-les-Roses au sud-est, Bourg-la-Reine au sud-ouest, et Bagneux à l'ouest. La commune s'étend sur toute la largeur de la vallée de la Bièvre, d'un coteau à l'autre. Au sommet du coteau, le parc panoramique offre une vue quasi-exhaustive de la commune ainsi qu'une belle vue sur les ponts-aqueducs de Médicis et de la Vanne et sur le sud-ouest de Paris avec la Tour Eiffel. Le territoire de Cachan fait partie du bassin parisien formé à l'époque tertiaire. La commune est traversée du sud au nord par la rivière Bièvre qui se jetait dans la Seine au cœur de Paris. La rivière coule dans une vallée entre le plateau du Long Boyau à l'est et celui de Châtillon à l'ouest. De nombreuses carrières ont existé au nord de la commune. Les romains avaient choisi cette partie de la vallée pour construire le pont-aqueduc qui permettait à l'eau, captée à Wissous, de la franchir pour rejoindre Lutèce. La RD 9205 (anciennement appelée RN 20) passe à la limite ouest de Cachan, et vers le nord, permet de rejoindre la Porte d'Orléans en dix minutes. À l'est, les autoroutes A 6A et A 6B se rejoignent à la périphérie de Cachan. Cachan est desservie par deux stations sur la ligne du RER B - Arcueil-Cachan et Bagneux. Ces deux gares sont sur le territoire de la commune de Cachan. Celle d'Arcueil-Cachan sera reliée à la rocade du Grand Paris Express (ligne 15), faisant de Cachan un pôle de croisement majeur. De nombreuses lignes de bus relient Cachan à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France.

Les quartiers de la ville sont :

  •     le Centre-ville,
  •     le Coteau,
  •     la Cité-Jardins,
  •     la Plaine,
  •     la Prairie,
  •     la Grange Ory,
  •     Saint Jean,
  •     les Lumières.

Plusieurs étymologies fantaisistes ont été proposées pour expliquer l'origine du nom de la ville (caticantus qui signifierait « chant du chat » ; « canton caché ») : Camille Jullian propose en 1922 lors d'un cours au Collège de France une étymologie celtique, où Caticantus désignerait un lieu caractérisé par la présence de sources. En 1894, ce lieu-dit de la paroisse d'Arcueil a pris une telle importance que son nom est rattaché à celui de la paroisse pour former désormais un unique bloc : Arcueil-Cachan. C'est en 1922 que les habitants de Cachan obtiennent la séparation des deux bourgs et que Cachan devient une commune autonome. Le premier groupement humain, qui a été à l'origine de Cachan, avait son habitat sur l'emplacement approximatif de la Redoute des Hautes Bruyères (aujourd'hui à Villejuif), non loin de la Fontaine Couverte ( Pezée) sur le Coteau de Cachan. Les vestiges de ce village néolithique ont été découverts en 1896.

Le plateau des Hautes Bruyères , séparé de celui de Châtillon par la largeur de la vallée de la Bièvre, soit cinq kilomètres environ, est topographiquement une position de choix, tant pour la surveillance que pour la défense. Site fortifié pendant la guerre de 1870, une redoute y fut édifiée qui conserva une importance stratégique et demeura utilisée à des fins militaires jusqu'au dernier conflit mondial. "Le grand nombre d'instruments lithiques trouvés dans ce site donne à penser que la population y fut relativement dense, davantage sur le versant de la fortification, au-dessus de Cachan". Il a été soutenu, que la source principale captée aujourd'hui sous le nom de Fontaine Couverte (ou Fontaine Pezée), expliquait la naissance de la cité actuelle. L'agglomération se serait légèrement déplacée à l'époque protohistorique, par suite d'une tendance générale des hommes à s'établir non plus sur les lieux élevés, mais à flanc de colline. La collectivité humaine aurait ainsi quitté le Plateau des Hautes-Bruyères, trop exposé au ruissellement et aux intempéries, pour se regrouper autour de la source. Telle était l'hypothèse de Camille Jullian. Jusqu'à présent, aucun vestige d'habitation, aucun objet susceptible de prouver l'installation permanente des néolithiques dans le voisinage de « La Fontaine Couverte » n'ont été découverts. D'ailleurs, l'antique village dut demeurer longtemps sur son aire initiale. Deux raisons majeures l'y déterminaient :

1) Son étendue en limite des champs de culture de ses habitants, lesquels pouvaient surveiller et, au besoin, défendre leurs récoltes ;

2) L'avantage de sa situation sur le chemin de crête qui, au bord du plateau, surplombant le lit de la rivière, desservait les hameaux ou villages de l'Hay, Chevilly, La Rue, Fresnes et Villejuif. L'existence de cette voie très ancienne a été reconnue.

Cela, jusqu'à ce qu'un chemin de pénétration dans la vallée de la Bièvre eût été pratiqué (au plus tôt à l'époque de l'occupation romaine de la Gaule) le village néolithique se maintint sur la hauteur.

Le berceau d'Arcueil-Cachan dut se constituer dans le voisinage du pont-aqueduc romain, ouvrage dont la garde et l'entretien nécessitaient, sur place, une collectivité de manœuvres ouvriers, fontainiers et agents. D'autre part, pour construire leur aqueduc, desservir les chantiers et permettre la circulation des matériaux et des hommes (carriers, glaisiers, briquetiers, maçons, charretiers, charrons, forgerons, etc.), les Romains créèrent des voies d'accès parallèles. Or, les deux plus anciennes de nos voies locales, la rue Émile Raspail à Arcueil (ancienne Grande Rue) et la rue des Tournelles à Cachan (ancienne Grande Rue) d'appellation identique, suivent assez précisément le tracé de l'antique rigole, ce qui autorise à penser que ces deux chemins ont été ouverts au moment de la construction romaine. Cachan possède, sur son territoire, les seuls vestiges d'un pont-aqueduc de l'ancienne Lutèce : deux massifs de maçonnerie engagés dans les bâtiments de la maison renaissance. Après avoir traversé la commune de l'Hay les Roses, l'aqueduc suivant la rive droite de la Bièvre, pénétrait sur le territoire de Cachan, longeant à peu près parallèlement la rue des Vignes. Il faisait ensuite un brusque coude vers l'Ouest, traversait la route départementale de Paris à Bourg la Reine, profitait d'un défilé de la Bièvre connu sous le nom caractéristique de Longboyau, pour passer sur les voûtes d'un pont-aqueduc de la rive droite à la rive gauche de la rivière ; il pénétrait ensuite dans Arcueil vers Paris.

La commune de Cachan8 date du 26 décembre 1922. Elle était auparavant un hameau puis un quartier d'Arcueil. L'étymologie de son nom est discutée. Les diverses interprétations du latin Caticantus sont toutes conjecturales et les spécialistes de la toponymie consultés ont préféré s'abstenir plutôt que de se risquer à de nouvelles suppositions. Depuis 18949, Arcueil est devenue Arcueil-Cachan. La ville compte alors 7 064 habitants et fête près de 200 naissances par an. C'est une commune encore largement rurale, dominée par l'activité économique des 150 blanchisseurs 10 et des maraîchers qui ont pris la relève des vignerons. Dès 1911, les habitants de Cachan réclament une séparation d'avec Arcueil et l'obtienne avec un projet de loi présenté à l'Assemblée nationale le 26 décembre 1922. En 1923, Amédée Picard devient le premier maire de Cachan. Ces années d'entre deux guerres sont celles de la modernité, conduite par Léon Eyrolles. L'éclairage public se généralise, le réseau d'assainissement se développe, on inaugure un marché aux comestibles. Les quartiers se transforment, avec le lotissement du Coteau et les premiers projets autour du Pont Royal. Les édifices publics voient le jour : la mairie, inaugurée en 1935 ainsi que trois écoles (Coteau, Belle Image et Paul Doumer). Au recensement de 1931, la ville compte 12 790 habitants. La guerre de 1939/45 et l'occupation amènent pénurie, rationnement et répression, mais la résistance s'organise.

En 1945, la ville compte 15 156 habitants. aux élections de 1953, Jacques Carat est élu. Il restera 45 ans à la tête de la commune et inaugure une période de transformation de Cachan. Les premières acquisitions foncières de 1954 annoncent la naissance du quartier La Plaine, suivie un an plus tard de la création de l'Office municipal de HLM. On multiplie les ouvertures de crèches et de classes, les créations de rues, les élargissements de voies. En 1962, Cachan compte 23 282 habitants. Parallèlement, l'École Normale Supérieure de Cachan inaugure son campus et confère à la ville un statut de pôle universitaire avec l'École spéciale des travaux publics, créée par Léon Eyrolles en 1891. S'ouvre alors une décennie dédiée à la culture et aux loisirs : premiers grands spectacles de théâtre et de variétés, premier salon d'arts plastiques, ouverture du cinéma la Pléiade et de la piscine, implantation de l'IUT. Après la transformation de la Cité-jardins et des quartiers de La Plaine et de La Prairie entamée au début des années soixante, les deux décennies suivantes sont celles de la rénovation du centre ville. Les équipements publics continuent aussi de se développer : agrandissements et rénovations d'écoles, construction du Stade Léo Lagrange et des tennis à Dumotel, ouverture du parc Raspail, inauguration de la bibliothèque du centre ville et de la Maison Renaissance (aujourd’hui conservatoire de musique), modernisation du théâtre, des centres socioculturels...

Dans le même temps, l'implantation d’entreprises importantes marque Cachan. Pour ses 70 ans, la ville a un centre ville transformé et l'on projette le futur quartier Desmoulins. En 1998, Jacques Carat démissionne et remet son écharpe de maire à Jean Yves Le Bouillonnec, premier adjoint depuis 1992. En 1999, Cachan compte 25 300 habitants.

 

Site web              http://www.ville-cachan.fr

Gentilé                Cachanais

Population

municipale         29 462 hab. (2013)

Densité                10 753 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 47' 31? Nord, 2° 19' 55? Est

Altitude               Min. 42 m – Max. 111 m

Superficie           2,74 km2